Différences
Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.
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pays [2020/10/11 21:39] – olivier | pays [2021/09/27 16:23] (Version actuelle) – olivier | ||
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Faire pays dans un pays, c’est mettre sur pied une nouvelle légitimité en face, à côté, en-dessous, au-dessus, comme on voudra, de la légitimité existante. C’est donc mettre en place des contre-dispositifs, | Faire pays dans un pays, c’est mettre sur pied une nouvelle légitimité en face, à côté, en-dessous, au-dessus, comme on voudra, de la légitimité existante. C’est donc mettre en place des contre-dispositifs, | ||
- | Ainsi qu’il est dit dans le Manifeste, le mot pays s’entend par antithèse à Nation, Etat ou Région. Il évoque plutôt des notions nommant un environnement référentiel commun comme quand on dit « pays de Charleroi », « pays de Herve » ou « pays de Caux » et correspond plus à l’acceptation administrative française : « Les pays sont des territoires qui ne sont ni des [[https:// | + | Ainsi qu’il est dit dans le Manifeste, le mot pays s’entend par antithèse à Nation, Etat ou Région. Il évoque plutôt des notions nommant un environnement référentiel commun comme quand on dit « pays de Charleroi », « pays de Herve » ou « pays de Caux » et correspond plus à l’acceptation administrative française : // « Les pays sont des territoires qui ne sont ni des [[https:// |
+ | Si nous insistons sur la notion de « pays », ce n’est pas seulement pour faire pièce à l’idée de Nation et à tout ce qu’elle entraîne, c’est aussi pour répondre aux tentations ou aux volontés d’isolement et de repli sur soi d’un certain nombre de propositions de transition qui se vivent comme des oasis ou des isolats. Le pays dit la reliance, le voisinage, le collectif, le commun. Il ne dit pas l’exception, | ||
> **A la patrie, des patriotes.** | > **A la patrie, des patriotes.** | ||
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===== Préserver, mettre en commun, reconquérir ===== | ===== Préserver, mettre en commun, reconquérir ===== | ||
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Faire pays dans un pays suppose trois choses : | Faire pays dans un pays suppose trois choses : | ||
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* De préserver (sanctuariser) les matières collectives déjà (encore) existantes en les soustrayant aux logiques de prédation et de privatisation\\ | * De préserver (sanctuariser) les matières collectives déjà (encore) existantes en les soustrayant aux logiques de prédation et de privatisation\\ | ||
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===== Notre légitimité ===== | ===== Notre légitimité ===== | ||
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Si nous pensons qu’il faut mettre sur pied cette nouvelle légitimité\\ | Si nous pensons qu’il faut mettre sur pied cette nouvelle légitimité\\ | ||
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* c’est enfin qu’il n’y a plus aucune raison de ne pas oser. | * c’est enfin qu’il n’y a plus aucune raison de ne pas oser. | ||
- | ===== Institutions autonomes et contre-dispositifs ===== | + | ===== Institutions autonomes et contre-dispositifs ===== |
- | **Avons-nous des raisons raisonnables de ne pas oser ?** | + | Avons-nous des raisons raisonnables de ne pas oser ? |
- | **//Pour construire cette autre légitimité, | + | **Pour construire cette autre légitimité, |
La proposition de redécoupage des territoires via une approche privilégiant le flux des eaux n’est évidemment pas neutre et si elle entre évidemment en résonance directe avec la question environnementale, | La proposition de redécoupage des territoires via une approche privilégiant le flux des eaux n’est évidemment pas neutre et si elle entre évidemment en résonance directe avec la question environnementale, | ||
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En tout état de cause, la proposition de « faire pays dans un pays » permet d’investir politiquement des espaces qui ne le sont pas. On dira qu’il existe des « contrats de rivière » qui lient un certain nombre d’acteurs, | En tout état de cause, la proposition de « faire pays dans un pays » permet d’investir politiquement des espaces qui ne le sont pas. On dira qu’il existe des « contrats de rivière » qui lient un certain nombre d’acteurs, | ||
- | Enfin, si la construction de pays dans le pays ne tient pas compte du découpage territorial municipal existant (de toute manière, les territoires municipaux ne recoupent pas systématiquement - c’est même assez rare - le bassin versant d’une rivière de la même façon qu’une même municipalité peut contenir un certain nombre de ruisseaux différents donnant lieu à l’existence potentielle de plusieurs petits « pays » dans une même entité administrative), | + | Enfin, si la construction de pays dans le pays ne tient pas compte du découpage territorial municipal existant (de toute manière, les territoires municipaux ne recoupent pas systématiquement - c’est même assez rare - le bassin versant d’une rivière de la même façon qu’une même municipalité peut contenir un certain nombre de ruisseaux différents donnant lieu à l’existence potentielle de plusieurs petits « pays » dans une même entité administrative), |
Mais concentrons-nous un instant sur ce que les bassins versants offrent comme possibilités d’une redéfinition territoriale partant des ruisseaux jusqu’au fleuve lui-même en finissant par une assemblée de bassin. Nous parlons donc de doter d’assemblée(s) autogouvernée(s) chaque ruisseau, chaque rivière ainsi que le fleuve lui-même et pourquoi pas donc le bassin. Concrètement, | Mais concentrons-nous un instant sur ce que les bassins versants offrent comme possibilités d’une redéfinition territoriale partant des ruisseaux jusqu’au fleuve lui-même en finissant par une assemblée de bassin. Nous parlons donc de doter d’assemblée(s) autogouvernée(s) chaque ruisseau, chaque rivière ainsi que le fleuve lui-même et pourquoi pas donc le bassin. Concrètement, | ||
- | > ***Plus il y aura de pays dans le pays,*** | + | > **Plus il y aura de pays dans le pays,** |
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- | > ***plus les territoires seront morcelés,*** | + | > **plus les territoires seront morcelés, |
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- | > ***plus la démocratie sera effective.*** | + | > **plus la démocratie sera effective.** |
- | ## Territoires locaux | + | ===== Territoires locaux |
- | + | **Car si la vision territoriale à partir des bassins versants nous parait importante notamment dans son rapport aux formes du vivant et aux interdépendances qu’elle met en lumière, elle nous parait toutefois insuffisante pour garantir l’exercice d’un autogouvernement fédérant de façon non capitaliste, | |
- | ***Car si la vision territoriale à partir des bassins versants nous parait importante notamment dans son rapport aux formes du vivant et aux interdépendances qu’elle met en lumière, elle nous parait toutefois insuffisante pour garantir l’exercice d’un autogouvernement fédérant de façon non capitaliste, | + | |
Ce chiffre de 5 à 10.000 personnes est celui qui est couramment cité par les partisans du communalisme libertaire de Murray Bookchin comme base démocratique souhaitable, | Ce chiffre de 5 à 10.000 personnes est celui qui est couramment cité par les partisans du communalisme libertaire de Murray Bookchin comme base démocratique souhaitable, | ||
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Pour autant, tenons ce chiffre de 5.000 ou 10.000 personnes comme un socle ou un seuil à partir duquel élaborer, lors de la constitution des assemblées, | Pour autant, tenons ce chiffre de 5.000 ou 10.000 personnes comme un socle ou un seuil à partir duquel élaborer, lors de la constitution des assemblées, | ||
- | > ***Un pays c’est un bassin,*** | + | > **Un pays c’est un bassin,** |
> | > | ||
- | > ***une population, un débat*** | + | > **une population, un débat** |
- | ## Quels objets? | + | ===== Quels objectifs |
+ | **Les matières dont pourraient s’emparer de telles assemblées de ruisseaux, de rivières ou de bassin ne sont pas des doublons, des copies, des redondances des matières dont la municipalité s’occupe. Autrement dit, ces assemblées ne sont pas des conseils municipaux alternatifs et il est important de garder cette possibilité aussi étroite que possible pour les raisons signalées plus haut.** | ||
- | ***Les matières dont pourraient s’emparer de telles assemblées de ruisseaux, de rivières ou de bassin ne sont pas des doublons, des copies, des redondances des matières dont la municipalité s’occupe. Autrement dit, ces assemblées ne sont pas des conseils municipaux alternatifs et il est important de garder cette possibilité aussi étroite que possible pour les raisons signalées plus haut. En revanche, il est essentiel que ces assemblées s’emparent de questions qui, selon les mots du Manifeste, entendent, d’une part, doter le futur d’une mémoire et travaillent, | + | En revanche, il est essentiel que ces assemblées s’emparent de questions qui, selon les mots du Manifeste, entendent, d’une part, doter le futur d’une mémoire et travaillent, |
- | * Rôle de vigie de l’état du cours d’eau attaché à l’assemblée en particulier et de façon générale de celui du bassin versant de référence - en établissant un bilan de santé et de viabilité ou en le concertant éventuellement avec des organes existants, type contrats | + | A titre indicatif, voici quelques exemples |
- | * Participation de l’assemblée à l’établissement du bilan de l’impact environnemental, | + | |
- | * Établissement du cadastre des biens publics (terres et bâtiments appartenant aux communes, provinces, organismes publics) ; vigie collective sur l’usage et la vente de ces terres publiques ; protection des terres nourricières de l’urbanisation, | + | |
- | * Calcul de la quantité de carbone disponible dans le bassin et ses répartitions en fonction des marqueurs scientifiques et administratifs généraux, etc… | + | |
- | * Mise sur pied un espace/ | + | |
- | * Rachat solidaire des dettes des agriculteurs concernés afin de maintenir ces agriculteurs en activité sur les terres, de contractualiser un passage à l’agriculture non conventionnelle et de contrarier l’enchérissement de l’hectare de terre agricole. Au terme de l’usage des terres (retraite, maladie, mort), priorité est donnée à un rachat par les endosseurs des dettes, au prix minoré des montants déjà investis ; | + | |
- | * Création d’un maillage socio-écologique entre tous les acteurs et tout le vivant d’un même territoire (MAP) ; | + | |
- | * Création une caisse solidaire locale via le versement de contributions individuelles et collectives ; | + | |
- | * Re-territorialisation de la production d’objets au travers de conciergeries ou de makerspaces ; | + | |
- | * Mise sur pied d’un processus de création d’emplois en fonction des nécessités du territoire et des envies des habitants, surtout les personnes vulnérables et vulnérabilisées (type TZCLD), nécessitant le cas échéant le passage d’un « partenariat public-commun » ; | + | |
- | * Création de services de mutualisation de rues ou et de quartiers en favorisant des usages communs et pensés des terrains, jardins et forêts (voir scolie « dépossession ») ; | + | |
- | * Mise sur pied des services de soutien médiats et immédiats aux personnes et groupes vulnérables ; | + | |
- | * Etc…, etc… | + | |
- | *Tout ceci étant donné | + | |
- | ## Assemblées autogouvernées | + | * Participation de l’assemblée à l’établissement du bilan de l’impact environnemental, |
+ | * Établissement du cadastre des biens publics | ||
+ | * Calcul de la quantité de carbone disponible dans le bassin et ses répartitions en fonction des marqueurs scientifiques et administratifs généraux, etc… | ||
+ | * Mise sur pied un espace/ | ||
+ | * Rachat solidaire des dettes des agriculteurs concernés afin de maintenir ces agriculteurs en activité sur les terres, de contractualiser un passage à l’agriculture non conventionnelle et de contrarier l’enchérissement de l’hectare de terre agricole. Au terme de l’usage des terres (retraite, maladie, mort), priorité est donnée à un rachat par les endosseurs des dettes, au prix minoré des montants déjà investis ; | ||
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+ | * Re-territorialisation de la production d’objets au travers de conciergeries ou de makerspaces ; | ||
+ | * Mise sur pied d’un processus de création d’emplois en fonction des nécessités du territoire et des envies des habitants, surtout les personnes vulnérables et vulnérabilisées (type TZCLD), nécessitant le cas échéant le passage d’un « partenariat public-commun » ; | ||
+ | * Création de services de mutualisation de rues ou et de quartiers en favorisant des usages communs et pensés des terrains, jardins et forêts (voir scolie « dépossession ») ; | ||
+ | * Mise sur pied des services de soutien médiats et immédiats aux personnes et groupes vulnérables ; | ||
+ | * Etc…, etc… | ||
- | ***La constitution de telles assemblées autogouvernées se fonderait dans un premier temps sur « qui est là » sans prétention de représentation de la composition du territoire. Les décisions et les répartitions des tâches et des rôles se feraient avec possibilité de révocation et temporalité de la fonction. Ces fonctions et rôles seraient affectés de façon horizontale par un procédé que le groupe initial déterminera (tirage au sort intégral, tirage au sort modéré par une élection par candidature, | + | Tout ceci étant donné à titre de nourriture stimulante, rien n’ayant encore été réellement discuté ni a fortiori retenu… Ces suggestions sont notamment issues d’un certain nombre de propositions de mouvements ou associations (MAP, Attac, agroécologie, |
- | + | ==== Assemblées autogouvernées ==== | |
- | * Il est donc parfaitement possible de constituer une assemblée autogouvernée à partir d’un noyau réduit de personnes, même si l’ambition n’est pas de demeurer dans un « entre soi » inopportun. Il serait intéressant d’y rassembler à terme entre 5 et 10% de la population du territoire. Tant que faire se peut et pour des raisons évoquées plus haut, on rappelle que ces territoires concernent de préférence une population oscillant entre 5000 et 10000 personnes. Ces assemblées pourraient donc à terme rassembler entre 250 et 1000 personnes et les manières d’organisation collectives devront grandir en résonance. | + | **La constitution de telles assemblées autogouvernées se fonderait dans un premier temps sur « qui est là » sans prétention de représentation de la composition du territoire. Les décisions et les répartitions des tâches et des rôles se feraient avec possibilité de révocation et temporalité de la fonction. Ces fonctions et rôles seraient affectés de façon horizontale par un procédé que le groupe initial déterminera (tirage au sort intégral, tirage au sort modéré par une élection par candidature, |
- | * A mesure que de nouveaux territoires se revendiqueront de faire pays dans le pays, des liens seront à imaginer entre les différents territoires, | + | |
- | + | ||
- | ## Mise en œuvre | + | |
- | + | ||
- | ***Il est temps maintenant d’aborder la façon de commencer à mettre sur pied les conditions de réalisation du pays. Quelle méthodologie pour faire pays dans le pays ? Par quoi commence-t-on ? Il y a au moins deux propositions possibles.*** | + | |
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- | ### Partir d’un appel et d’adhésions | + | |
+ | * Il est donc parfaitement possible de constituer une assemblée autogouvernée à partir d’un noyau réduit de personnes, même si l’ambition n’est pas de demeurer dans un « entre soi » inopportun. Il serait intéressant d’y rassembler à terme entre 5 et 10% de la population du territoire. Tant que faire se peut et pour des raisons évoquées plus haut, on rappelle que ces territoires concernent de préférence une population oscillant entre 5000 et 10000 personnes. Ces assemblées pourraient donc à terme rassembler entre 250 et 1000 personnes et les manières d’organisation collectives devront grandir en résonance. | ||
+ | * A mesure que de nouveaux territoires se revendiqueront de faire pays dans le pays, des liens seront à imaginer entre les différents territoires, | ||
+ | ==== Mise en œuvre ==== | ||
+ | **Il est temps maintenant d’aborder la façon de commencer à mettre sur pied les conditions de réalisation du pays. Quelle méthodologie pour faire pays dans le pays ? Par quoi commence-t-on ? Il y a au moins deux propositions possibles.** | ||
+ | === Partir d’un appel et d’adhésions === | ||
Cela suppose une diffusion large et volontariste pour faire connaître la proposition du « pays » et donc de faire campagne afin de récolter des adhésions. Une telle campagne suppose la construction d’un argumentaire et d’un matériel de présentation à la hauteur de la proposition (organisation site, formulaire en ligne, documents papier, création d’un logo, réunions locales, relais locaux, ... ). Les adhésions individuelles pourraient par exemple être basées sur base des volontés ou des effectivités de dépossession de terres (voir scolie dépossession), | Cela suppose une diffusion large et volontariste pour faire connaître la proposition du « pays » et donc de faire campagne afin de récolter des adhésions. Une telle campagne suppose la construction d’un argumentaire et d’un matériel de présentation à la hauteur de la proposition (organisation site, formulaire en ligne, documents papier, création d’un logo, réunions locales, relais locaux, ... ). Les adhésions individuelles pourraient par exemple être basées sur base des volontés ou des effectivités de dépossession de terres (voir scolie dépossession), | ||
- | + | === Partir de situations existantes | |
- | ### Partir de situations existantes | + | |
Propositions de critères permettant de discriminer des situations ouvrant la perspective de faire pays (liste en partie discutée à Arlon) | Propositions de critères permettant de discriminer des situations ouvrant la perspective de faire pays (liste en partie discutée à Arlon) | ||
- | 1\. Quelque chose ajouté au territoire, un enjeu territorial potentiellement fédérateur (ou séparateur d’ailleurs) comme de grands travaux, un réaménagement urbain ou rural, une implantation d’usine ou de môle commercial, un abattage d’arbres, un rachat massif de terres, une pollution, une antenne relais, etc… : soit des situations qui apparaissent ou s’amplifient sur un territoire donné ; | + | - Quelque chose ajouté au territoire, un enjeu territorial potentiellement fédérateur (ou séparateur d’ailleurs) comme de grands travaux, un réaménagement urbain ou rural, une implantation d’usine ou de môle commercial, un abattage d’arbres, un rachat massif de terres, une pollution, une antenne relais, etc… : soit des situations qui apparaissent ou s’amplifient sur un territoire donné ; |
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- | 2\. Une ressource susceptible de faire lien comme de l’eau, des friches, des terres, des arbres, etc… | + | |
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- | 3\. La présence de comités, de collectifs, d’associations engagées dans la vie du quartier ou dans des processus « écosocialistes » ou « d’écologie intégrale » locaux, la présence de squats, de logements autogérés ou légers, … | + | |
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- | 4\. La disparition ou diminution des services publics de base (poste, hôpital, écoles, crèches, transports publics, arrêt de train, …) | + | |
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- | 5\. La disparition ou diminution de commerces à vocation publique ou collective comme les cafés, les restaurants, | + | |
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- | 6\. La présence de services sociaux de première ligne de type associatif ; | + | |
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- | 7\. Un taux de pauvreté égal ou inférieur à la moyenne régionale, une perte d’emplois spécifique au quartier ou à la commune, … | + | |
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- | 8\. Une reconnaissance ou une symbolique forte de quartier, de village, de hameau, … | + | |
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- | 9\. La présence d’une personne ou d’un relais déjà connu ou favorablement identifié ; … | + | |
Quoi qu’il en soit, afin de soutenir ces commencements, | Quoi qu’il en soit, afin de soutenir ces commencements, | ||
- | ***(à suivre, notamment avec les conquis sociaux et politiques à emporter)*** | + | **(à suivre, notamment avec les conquis sociaux et politiques à emporter)** |